Ayla, deuxième livre

J’ai terminé le deuxième tome de l’histoire d’Ayla hier. Ça m’a fait le plus grand bien de passer la journée à lire; ça faisait trop longtemps que je n’avais pas eu ce loisir. (En fait, j’ai dormi pendant presque la moitié de la journée pour me remettre de mon rhume, mais dans l’après-midi, je me suis remise à lire et j’ai lu jusqu’à ce que je termine le livre, vers 21 h.)

Comme je disais dans mon dernier billet au sujet d’Ayla, elle est un personnage très attachante. J’ai adoré les parties du premier livre où Ayla a dû se débrouiller complètement seule, subvenant à ses propres besoins et innovant pour se construire un refuge, se trouver de la nourriture et se tenir occupée. Dans ce deuxième livre, Ayla est complètement autonome durant de nombreux mois.

J’ai lu d’autres livres quand j’étais enfant (pour ne pas dire « quand j’étais jeune »!) au sujet de filles et de garçons qui se retrouvent seuls dans la forêt mais qui se débrouillent pour survivre. Je rêvais de faire la même chose. De partir, pas pour toujours, mais au moins pour quelques semaines, juste pour (me) montrer que j’en étais capable. J’ai lu des livres qui expliquaient comment chasser, comment se fabriquer des outils, quelles plantes on pouvait manger, comment se construire un abri, etc. Je n’ai tout simplement jamais eu le courage de le faire « pour vrai ». Je passais des journées entières dans la forêt près de chez mes grand-parents, mais je rentrais toujours le soir.

Peut-être que c’est pour cette raison que le camping sauvage m’attire. J’en n’ai jamais réellement fait. Même si ce n’était que pour quelques jours, et que j’apporterais probablement tout l’équipement et la nourriture dont j’aurais besoin, j’aimerais faire l’expérience de vivre dans le bois.

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Vers la fin de ce deuxième livre, Ayla tombe en amour. Les évènements se déroulent tellement comme dans un film : toute une chaîne d’évènements font en sorte que l’homme en question se trouve à la bonne place au bon moment. Ça m’a fait penser à notre histoire… moi qui ne croyait pas au destin auparavant, je dois dire que les choses ont drôlement bien adonné pour que MB et moi nous nous rencontrons juste au bon moment.